mardi 16 décembre 2025

La dépendance affective :

 







La dépendance affective : chercher dans l’autre ce que l’on ne trouve pas en soi
La dépendance affective n’est pas un défaut. C’est une stratégie de survie émotionnelle. Elle naît lorsque l’on a appris très tôt que l’amour vient de l’extérieur, jamais de l’intérieur.
Alors, on s’accroche. On accepte trop. On pardonne trop. On espère que l’autre nous donnera enfin ce que l’on n’a jamais reçu : la preuve que l’on vaut quelque chose.
Dans ce mouvement, la relation toxique devient un piège : elle nourrit le manque qu’elle crée elle-même.
Sortir de la dépendance affective ne commence pas par quitter l’autre.
Cela commence par se rencontrer soi.
Quand l’amour a manqué, l’intérieur reste affamé.
Et tant que ce vide n’est pas reconnu, il cherche à être comblé ailleurs : dans le regard, l’attention, la présence, la validation de l’autre.
L’autre devient alors une source… au lieu d’être un lien.
La première clé consiste à changer la direction de l’amour.
Passer de : « J’ai besoin que tu me rassures »
à : « Qu’est-ce qui, en moi, a besoin d’être rassuré maintenant ? »
Ce déplacement est fondamental.
Apprendre à nourrir son intérieur, c’est commencer à répondre soi-même à ce qui a été trop longtemps ignoré :
reconnaître ses émotions au lieu de les étouffer,
écouter ses besoins au lieu de les négocier,
se parler avec respect là où l’on s’est longtemps violenté.
Cela implique de devenir son propre bon parent.
Celui qui sécurise quand la peur de l’abandon s’active.
Celui qui ne menace pas de retrait d’amour.
Celui qui reste présent, même quand l’autre s’éloigne.
Une autre clé essentielle est d’apprendre à supporter le manque sans se dissoudre dedans.
Dans la dépendance affective, le manque est vécu comme une urgence vitale.
Apprendre à rester avec lui — sans appeler, sans supplier, sans se trahir — permet peu à peu de découvrir quelque chose d’inédit :
le manque n’est pas mortel.
Il est inconfortable, mais traversable.
C’est aussi là que se construit l’auto-sécurité.
Prendre soin de soi en priorité devient alors un acte de réparation :
poser des limites même quand on a peur de perdre,
se retirer quand la relation blesse au lieu d’insister,
choisir des espaces, des pratiques, des relations qui nourrissent réellement.
À mesure que l’intérieur se remplit, la dépendance perd sa fonction.
On ne cherche plus quelqu’un pour se sauver,
mais quelqu’un avec qui partager.
Et l’amour change de nature.
Il ne sert plus à combler un vide,
il circule entre deux êtres déjà présents à eux-mêmes.


Christophe Desbonnetⓒ
Vivre vrai, c’est possible.
De la survie à la vie.
https://www.christophedesbonnet.com/




lundi 15 décembre 2025

“J’ai pas le temps pour ça.”

 






J’ai pas le temps pour ça.”

Tu veux parler. Tu veux qu’il t’écoute. Et lui, d’un ton sec, te dit qu’il n’a “pas le temps”.

Ce n’est pas qu’il s’en fiche. C’est qu’il ne sait pas quoi faire de ce qu’il ressent quand toi tu ressens fort.

À l’intérieur, il est submergé. Comme un petit garçon qui n’a jamais eu la permission d’être triste, en colère ou vulnérable. Alors aujourd’hui, adulte, il fuit tout ce qui ressemble à une émotion… parce qu’il ne sait pas comment la traverser.

 “Pourquoi il y a toujours un problème ?”

Tu veux simplement te rapprocher. Lui, il entend “tu n’es pas assez”.

Alors il se braque. Parce que pour lui, ton émotion = une menace. Il la vit comme une accusation, pas comme une tentative de connexion.

Ce comportement vient du petit garçon qui se sentait responsable du mal-être de ses parents. Celui qui croyait devoir “rendre tout le monde heureux” pour mériter l’amour. Alors aujourd’hui, quand une femme exprime un besoin… il panique.

 “De toute façon, rien de ce que je fais n’est assez.”

Tu lui dis ce que tu ressens. Et il répond ça, avec lassitude.

Tu crois qu’il te reproche ton exigence, mais en réalité… il parle de lui. De ce vide qu’il traîne depuis l’enfance. De ce sentiment d’être “jamais à la hauteur”, quoi qu’il fasse.

Ce n’est pas contre toi. C’est une blessure de honte et d’impuissance qu’il n’a jamais osé nommer.

 “J’en peux plus, j’ai besoin d’une pause.”

Il ne parle pas vraiment de toi. Il parle de son système nerveux saturé. De cette fatigue d’homme qui porte tout sans savoir comment déposer.

Quand il dit ça, c’est son enfant intérieur qui supplie : “J’aimerais qu’on m’aime sans que j’aie à prouver quelque chose.”

Mon point de vue, c’est que beaucoup d’hommes ne sont pas désintéressés. Ils sont désalignés émotionnellement. Ils n’ont pas appris à aimer autrement qu’en se coupant d’eux-mêmes.

Je te dis ça pour t’aider à comprendre ce qu’il y a derrière le silence, la distance, ou la fuite.

Parce que parfois… ce n’est pas toi qu’il rejette. C’est la partie de lui qu’il n’a jamais su affronter.







Quand on parle d’immaturité émotionnelle,










Quand on parle d’immaturité émotionnelle, il ne s’agit ni de folie, ni de faiblesse, ni d’un manque d’intelligence.

Il s’agit d’un homme ou d’une femme qui réagit depuis ses blessures, au lieu de répondre depuis son cœur adulte.

Deux êtres qui ont appris à se protéger plutôt qu’à se rencontrer. À survivre dans le lien, plutôt qu’à s’y déposer. À vouloir avoir raison, plutôt qu’à comprendre.

Mais derrière tout ça, il y a souvent un petit garçon et une petite fille blessés, qui n’ont pas été entendus. Et qui, aujourd’hui encore, se parlent à travers leurs blessures au lieu de se parler d’amour.

 Ils se punissent par le silence ou le retrait

Quand l’un se sent blessé, incompris ou pas reconnu, il se ferme. Il se tait. Il crée de la distance, croyant que c’est ainsi qu’il se protège.

Mais en réalité, chacun espère que l’autre viendra le chercher. Sans oser le dire. Sans oser montrer sa douleur.

Et à force d’attendre que l’autre comprenne sans mots, ils se perdent dans le non-dit. Jusqu’à ce que le lien s’étouffe sous le poids du silence.

 Ils expriment leurs besoins à travers des reproches, pas depuis leur vulnérabilité

« Tu ne m’écoutes jamais. » « Tu t’en fous. » « Tu n’es jamais là quand j’ai besoin de toi. »

Derrière ces phrases, il y a souvent une seule vérité : ? “J’ai peur de ne pas compter pour toi.”

Mais le reproche ferme le cœur. Et plus ils se défendent, plus ils s’éloignent. Parce qu’ils se parlent depuis leur douleur, pas depuis leur amour.

 Ils communiquent dans l’émotion brute, pas dans la conscience

Elle pleure, il s’énerve. Il crie, elle se ferme. Et chacun finit par dire des mots qu’il regrette une heure plus tard.

Pas parce qu’ils sont toxiques. Mais parce qu’ils sont blessés. Et qu’ils n’ont pas encore appris à contenir leur émotion sans accuser l’autre.

Résultat ? Deux âmes qui s’aiment, mais qui se détruisent à force de ne pas savoir se parler.

L’immaturité émotionnelle, ce n’est pas un défaut. C’est une étape qu’on traverse avant d’apprendre à aimer consciemment.








Le burn-out de la femme forte : quand tout porter finit par briser

 




On te voit comme une femme forte : celle qui gère tout, qui rassure, qui trouve des solutions, qui ne flanche jamais. Mais derrière cette image solide, la fatigue s’accumule, ton corps s’épuise et ton esprit vacille.


Ta force devient ton piège : à force d’encaisser, d’aider, de contrôler et de ne jamais dire non, tu t’oublies.

Le rôle qui épuise

Parce que tu es fiable, tout le monde s’appuie sur toi : au travail, à la maison, dans ta famille. Tu prends tout en charge, tu ne réclames rien, et tu continues même quand tu es malade ou brisée. Mais chaque responsabilité ajoutée te vide un peu plus.


L’illusion de tout contrôler

Tu veux que tout soit parfait, alors tu refuses de déléguer. Tu corriges, tu ajustes, tu vérifies tout. Tu crois que si tu lâches, tout s’écroulera. Cette illusion te pousse à porter bien plus que ce qu’une seule personne peut supporter.

L’incapacité à dire non

Tu dis oui à tout par peur de décevoir. Dire non te semble égoïste. Alors tu t'épuises à contenter tout le monde, jusqu’à oublier tes propres besoins. Ce “oui” permanent t’emmène droit vers le burn-out.

La force qui masque la douleur

Tu caches ta vulnérabilité, tu souris même quand tu es au bout du rouleau. Les autres pensent que tu n’as besoin de rien… alors ils ne t’aident pas. Tu t’isoles derrière une façade solide, mais ton âme se fatigue.

Le corps finit par craquer

Insomnie, stress, fatigue extrême, douleurs, irritabilité : ton corps dit STOP avant que toi tu ne l’acceptes. Le burn-out arrive quand tu as tout donné, trop longtemps.

Redéfinir la vraie force

Être forte, ce n’est pas tout porter. C’est savoir poser des limites, dire non, demander de l’aide, se reposer, se respecter.

La véritable puissance, c’est l’équilibre : choisir sa paix plutôt que son épuisement.

Tu restes une femme forte, mais une femme forte qui se protège, et non plus qui se sacrifie. 


Ce que tu gardes contre ta mère

 




Ce que tu gardes contre ta mère… tu le gardes contre toi.
On croit souvent que ce que l’on reproche à notre mère lui appartient :
que c’est elle qui aurait dû être différente,
plus douce,
plus aimante,
plus présente,
plus stable.
Mais en réalité, toute colère, toute rancune, toute déception
que tu retiens contre elle ne reste pas figée dans le passé.
Elle s’installe dans ton cœur.
Elle prend place dans ton corps.
Elle devient ta façon d’aimer,
ta façon de te protéger,
ta façon de te retenir d’être heureuse.
Parce que ta mère, qu’on le veuille ou non, c’est la porte par
laquelle tu es entrée dans la vie.
Elle n’est pas seulement une femme.
Elle est l’origine.
La rejeter, consciemment ou non,
c’est rejeter la vie elle-même.
C’est se couper de la capacité à recevoir :
l’amour,
la tendresse,
la douceur,
l’abondance,
la sécurité intérieure.
Un de mes mentors disait:
« Lorsque l’on dit “non” à sa mère, on dit “non” à la vie. »
Pas parce que ta mère a toujours eu raison.
Pas parce que ce qu’elle a fait était acceptable.
Mais parce que ta relation à elle devient la matrice de ton
rapport au monde.
Si tu gardes ta mère à distance,
tu gardes l’amour à distance.
Si tu la juges,
tu te juges.
Si tu la condamnes,
tu te condamnes à répéter son histoire.
Parce que ce que tu refuses chez elle,
tu le porteras malgré toi.
Ce n’est pas ta faute.
C’est un mécanisme de loyauté invisible.
Un mouvement d’enfant qui n’a jamais été reconnu dans sa peine.
Alors non,
il ne s’agit pas de pardonner pour excuser.
Ni d’oublier ce qui t’a blessée.
Ni de prétendre que tout va bien.
Il s’agit de redonner à ta mère sa place :
celle de celle qui t’a donné la vie.
Ni plus, ni moins.
Quand tu déposes les armes,
quelque chose en toi se remet à circuler.
Ton cœur se rouvre.
Ton corps se détend.
Ta vie recommence à avancer.
Tu ne fais pas ça pour elle.
Tu le fais pour toi.
Pour redevenir entière.
Pour aimer sans te trahir.
Pour recevoir sans te méfier.
Pour créer ta vie avec confiance.
La paix ne commence pas avec l’autre.
Elle commence à l’endroit où tu cesses d’être en guerre contre toi.

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dimanche 14 décembre 2025

Mal Etre

 




Une personne pose une question sur le suicide La réponse constructive est juste après 

Bonjour,

Enfaite je me pose une question sur le suicide je connais des gens dans mon entourage qui veulent passer à l’acte mais je sais pas comment faire pour les aider j’aimerai savoir si il y a des gens qui ont déjà pensé à le faire et si oui qu’est ce que vous aurez voulu que vos amis fassent pour vous.

Merci d’avance 


Bonsoir,

Merci de posé cette question.

Je dirais que les personnes qui veulent mourir sont des gens fatigués, lessivés.

Elles veulent mourir car elles ne voient plus d'espoirs, pour elles même alors elles vont essayés de voir de l'espoir ailleurs mais ce monde n'est que noirceur. Alors elles vont tentées de chercher sans relâches une chose qui leurs fera changé d'avis, ce n'est pas obtenir une vie normale qu'elles veulent.. puisqu'elles sont lessivées et qu'elles ne croient plus en eux. Je dirais que ces choses sont hors sujets... Et que ça pourrait même les blesser car elles sont fragiles, leur cœur épuisé, et construire quoi que ce soit cela demande trop d'énergie, ce sont des personnes très humaine mais a la fois très cérébral du a leurs douleurs.. Elles vont rechercher quelque chose de beaucoup plus complexe, puisqu'elles sont très malades et enfermées dans leurs questions existentielles.

Je pense que quand t'es réellement a bout de tout.. Les autres préfèrent ne même pas aborder les sujets avec ces personnes.. Ils vont juste leurs dire : va consulter. Par peur de les perdre à cause d'eux je pense. Car personne a une vie facile, personne ne détient les réponses... Alors les personnes à problèmes c'est juste "passe à ton voisin peut-être qu'il trouvera" 

Tout ce que cela entraîne c'est.. une fatigue encore plus grande. Généralement quand l'état se dégrade trop on préfère ralentir le cerveau en leurs donnant un traitement. Puis a côté discuter 1h avec un psy qu'on paye mais retour chez soi, on retourne dans un environnement qui nous rappelle pourquoi ce trop plein.

Je pense que une fois qu'on entre dans ce système de soins ça en fini jamais. Car on doit quand même se battre au même niveau que n'importe quel individus mais les autres se construise.. Que les patients régresse et se maintiennent dans cette état de suivie, les médicaments qui ne leurs donnent plus cette vivacité d'esprit et ne leurs permet plus d'être en alignement avec qui ils sont donc il y a plus aucune forme de guérison possibles. 

Les médicaments ça fonctionne super bien au début.. 

Mais arrivé des années plus tard, c'est l'enfer a vivre.

Je dirais que tout dépend du mal-être, chacun est différent, la durée aussi, depuis combien de temps cela dure.. Si il y a des moments de hauts et de bas, ou si il y a que du désespoirs. Souvent les gens parle de passage.. Toute émotions n'est que de passage, mais pour certaine personne il existe que 1 passage dans leurs vie et c'est la souffrance. Observer si la personne s'isole, se fait du mal.. Ne jamais ignoré les petits détails qu'elle peut montrer.. Ne jamais sous estimé 1 petit problème car c'est par la que les plus grandes souffrance commencent ! Dire qu'il y a pire dans la vie.. Minimiser et ignoré quelqu'un qui nous demande de l'aide c'est inhumain. Car quand elle sera au plus mal, elle va chercher à comprendre l'élément déclencheur et elle va simplement constater qu'il n'y a plus de retour en arrière possible car on l'a déjà abandonné quand elle voulait qu'on l'aide. Et quand on est ignoré on va chercher de l'aide au mauvaise endroit généralement, et on fait des erreur irréversible généralement.. Et les regrets, ne sont pas pardonnable. C'est pour cela que ces personnes sont très très..  Cérébrale car elles veulent s'en sortir mais sont enfermé dans un cercle vicieux.

C'est compliqué de comprendre une personne qui souffre car elles agit toujours contre elle, et on a du mal à la suivre.. Mais je dirais que pour l'aider c'est lui permettre de sortir de ce cercle vicieux.. Trouver le bout du tunnel dans ca prison. L'aider à se pardonner, lui prendre la main et aller porter plainte si il y a besoin, lui montrer qu'elle a ça place dans ce monde, voyager, changé d'air.. Respecter ces valeurs et donc apprendre à la connaître réellement. Cela demande du temps, de l'énergie.. Mais un professionnel ne pourra jamais offrir du vrai à un patient.. Jamais, car quand on est en thérapie ce n'est pas la vie, c'est un lieu presque irréelle.. Ou on se confie, ou l'on paye pour se confier, ou il y a aucune relation humaine vraiment.. Et 1h pas plus.

Je pense que simplement vivre autre chose de différent c'est la clé, et surtout lui demander ce que elle veux réellement vivre... Il faut qu'elle puisse le dire sans peurs, sans penser au pires, sans craintes d'être incomprise. Pour vivre il faut pouvoir redonner ça confiance ne serait-ce à 1 personne... Car nous sommes des êtres sociaux on ne peux pas vivre en vivant dans la peur.

Une fois qu'elle aura réussi à exprimer ce qu'elle garde en elle, trouvé le moyens de le réaliser : Réussir cette chose est un accomplissement qui lui rendra tout ce qu'elles aura perdu. L'amour/ la joie ça se passe au centre du thorax.. Si on a plus cette élan de vie, c'est qu'on c'est résigné à mettre de côté ce qu'on rêve de vivre. Mais.. Parfois on ne se souviens même plus alors cela prend du temps de se retrouver... 

Avec beaucoup d'efforts tout est surmontable.. Mais priorité aux rêve(s) car quitte à vouloir mourir et à avoir une vie de merde, autant aidez ces personnes à réaliser leurs rêves les plus fou. 

L'être humain tombe en dépression pas à cause de ces erreurs / échecs..  C'est à cause des exigences de la société.. On parle beaucoup des autres pays trop exigeant mais c'est partout la même.. Que ce sois chez les hommes ou les femmes.. Même chez les enfants peut-être.. Les personnes dépressive ne s'en sorte plus. L'exigence de la beauté, cela peut être bien de dire qu'il ne faut pas se laissé allé.. Mais chez une personne ça peut aller loin, anorexie, surpoids, mutilations.. et j'en passe. Si il y aurait pas ces exigences.. Ces personnes prendrais soins d'elles naturellement, car ils y aura aucune pressions. Donc parfois une personne qui est bien, peut complètement vrillé et ce n'est pas de ça faute. Je pense que quand on commence à voir que notre personnalité n'ai pas compatible aux extrême de cette société, que ca nous blesse, il faut tout faire pour se tourner vers ce qui nous faire du bien, la nature ou les voyages, écouté ma vie des autres de différente culture.. 

Chaque problème à ça solution, quand on personnes veux se suicidé : -l'aider à changé d'environnement (sois pour des vacances, sois pour déménager tout dépend de la situation..) - comprendre dans quelles types de prison mental elle se trouve. - l'aider à trouver un rêve/ ou à s'en rappelle. Et enfin.. Tout faire pour qu'elle parviennent à le réaliser. Être à son écoute.. Si c'est d'ordre troubles psy.. style des délires auxquelles elle s'accroche pour survivre.. C'est encore plus complexes.. Je dirais aller dans sont sens pour qu'elle se rendent compte par réflexions qu'elle se trompe, mais toujours être à ses côtés dans cette recherche.. Si vraiment c'est une personne irréfléchi, dans des délires trop profonds et insensé.. Je ne sais pas. Mais tant qu'elle veut comprendre pour pouvoir tourner la page.. C'est important je pense de lui donné une chance et qu'elle puisse vivre dans ce monde pleinement par rapport à sont délire, pour qu'elle puisse ressentir ces limites.. Et se rendre compte de la réalité. En plus tout ce temps à cette quête insensé, ça revient à se retrouver, et vous verrez, quand on poursuit quelque chose qui nous tiens à cœur depuis longtemps même si c'est insensé, on vie plus avec la peur et on fait plus de choses par nous mêmes.. 

Je pense que toujours garder le contrôle sur une personne à cause de sa fragilité, ça rend la personne encore plus inapte a ce monde. 

Je vous ai donné plusieurs pensées.. A vous de l'adapter et le modelé en fonction de vos proches.. 

Aussi parfois.., Un mal-être peut être dû à la famille, une personne peut porter quelque chose de lourd, une blessure qui ne lui appartient même pas et qu'elle n'a même pas conscience.. La famille souffre mais parfois personne ne veut porter ce fardeau et maladroitement préfère rejeté leurs propres problèmes sur une personne plus sensible qui n'a rien demandé mais inconsciemment dis "oui" a tout. Le plus gros challenge c'est la famille.. Surtout quand personne ne fait l'effort de libéré la parole et qu'il y a qu'une personne qui se bat pour s'en sortir.. Car cette personne porte tout. Tout peut être une forme de prison.. Donc c'est intéressant dans ce genre de cas d'apprendre à connaître la famille et les drames.. Bien sur il y a forcément des drames dans les famille surtout si on remonte loin dans les générations, mais quand il y a un problème à ce niveau cela se vois beaucoup. Il faut savoir observer... J'ignore si ce que je dis là peut être une piste.. Si cela existe et si cela soulagerait réellement quelque chose.. Mais ce qui est intéressant quand quelqu'un souffre, c'est qu'on en apprend des choses ! Il faut pas tombé dans des sectes par contre ou écouter des mauvais psy qui font perdre du temps ou parfois détruise des vies. Car oui, personnellement j'étais en primaire quand un psychiatre a dit à mes parents que j'étais foutu et qu'il y avait qu'une option qui s'offrait à eux.., M'enfermé. Je n'ai pas entendue cela car j'étais enfermé dans mon monde.. C'est bien plus tard quand je suis sortie de mon monde que m'a maman m'a fait part de cette information. Je ne suis pas encore sortie d'affaire.. Mais malgré ma tristesse.. Je continue. 

Je n'ai pas d'amis, mais je trouve votre question vraiment importante et c'est rassurant.. 

J'espère que vous recevrez d'autres messages.

Bien à vous

https://www.tsante.com/plus/psycho/9980-le-burn-out-de-la-femme-forte?fbclid=IwY2xjawOrgPZleHRuA2FlbQIxMABicmlkETBWS3Zsb0E3dFF3b0lBaDVSc3J0YwZhcHBfaWQQMjIyMDM5MTc4ODIwMDg5MgABHniHrCMX0gwALXruY2cu1-MQEq7kpQkNXETKKkMHf7MiOEVxtg6fM77Llaed_aem_2cv6xWhgIwFcNWdmc6zU2w




LA GRANDE ANNÉE ASTROLOGIQUE 2026

 




LA GRANDE ANNÉE ASTROLOGIQUE 2026
Cette année 2026 va être une année de grands bouleversements. Tout le monde le ressent, particulièrement les gens qui sont connectés spirituellement. L’arrivée de Saturne en Poissons sidéral début janvier va lancer le bal pour permettre à ces gens très connectés sur le plan spirituel de prendre le relais pour servir de guide à ce monde en perdition. Le monde va se diviser en deux camps. Premièrement, ceux qui cherchent à garder à tout prix leurs traditions ancestrales, puis deuxièmement, ceux qui voudront éradiquer les barrières faites de préjugés moraux pour mener le monde et donner ainsi une chance à l’Ère du Verseau de se mettre en place. On parle ici de racisme, de sexisme, de cultures différentes, de frontières qui divisent pour les remplacer par des valeurs humanistes qui balayeront tous ces anachronismes. Cette Ère du Verseau sera enfin faite de solidarité humaine, de partage et d’Amour des autres sans condition; ce sera en un mot « LA PAIX UNIVERSELLE » qui régnera.
L’Amérique, créée il y a 248 ans pour être le laboratoire du Nouveau Monde et pour mettre en place cette Ère du Verseau, est devenue à cause de quelques-uns, le berceau mondial de la cupidité. Cette expression « Make America Great Again », comme l’affirment certains, a mis en évidence tous les « travers » de l’humanité. L’évolution indispensable de l’humanité causera des perturbations, mais, comme le disait ma grand-mère : « on ne fait pas d’omelette sans casser des œufs ». La contradiction majeure de ce monde contemporain, c’est de voir des industriels polluer la planète et ainsi créer des catastrophes environnementales, puis d’un autre côté de déplorer que des populations cherchent refuge en émigrant dans des zones moins exposées aux changements climatiques.
Une des choses qui va accompagner ces grands changements sociétaux va être la découverte de la réelle façon dont fonctionnera l’Ère du Verseau, accompagnée d’une meilleure connaissance de l’influence des astres. L’astrologie risque de devenir la clef de voûte de cette nouvelle période qui s’ouvre pour l’humanité. Malheureusement pour nos amis astrologues, ils risquent de voir le domaine de l’influence des astres leur échapper. Car, ces influences ne leur appartiennent pas. Ils n’en ont pas le contrôle, même si c’est cela qu’ils voudraient laisser croire. Ils devront eux aussi laisser de côté tous leurs endoctrinements archaïques pour laisser la place à de nouvelles hypothèses quant à ces influences.
En cette année 2026, ils vont découvrir que les planètes n’agissent pas seules, mais par paire. Toute l’année qui s’en vient, la paire de planètes Saturne / Uranus va danser au rythme d’aspects méconnus par les astrologues que sont les aspects de mission. C’est vrai que, pour les astrologues, ces aspects de septiles sont mineurs, voire dérisoires. Toutefois, cette paire de planètes annonce en force le retour de la vraie connaissance de l’influence des astres avec la reconnaissance en grande pompe de l’astrologie bâtie avec les deux zodiaques sidéral et tropical. C’est la raison qui m’a permis d’affirmer que les planètes fonctionnent par paire.
Comme sur cette carte du ciel affichée plus bas, les personnes qui ont cette superposition verte dans leur carte natale entre le Capricorne sidéral et le Verseau tropical sont arrivées sur Terre pour préparer cette Ère du Verseau. On les retrouve à des postes clefs où ils vont convaincre toutes sortes d’autorités de l’importance de considérer chaque être humain comme une entité divine respectable. Chaque entité s’incarne pour des raisons qui ne nous appartiennent pas. Chaque personne doit être respectée dans toutes les circonstances, quels que soient sa race, son sexe, sa culture et ses traditions partout dans le monde.
Nous vous souhaitons de faire les bons choix pour cette nouvelle année et que la paix vous accompagne!

Allez on va y arriver. Courage et surtout lâchons prise sur ce qui ne doit plus être.




La dépendance affective :

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