BlandinEnVadrouille
mardi 16 décembre 2025
La dépendance affective :
lundi 15 décembre 2025
“J’ai pas le temps pour ça.”
“J’ai pas le temps pour ça.”
Tu veux parler. Tu veux qu’il t’écoute. Et lui, d’un ton sec, te dit qu’il n’a “pas le temps”.
Ce n’est pas qu’il s’en fiche. C’est qu’il ne sait pas quoi faire de ce qu’il ressent quand toi tu ressens fort.
À l’intérieur, il est submergé. Comme un petit garçon qui n’a jamais eu la permission d’être triste, en colère ou vulnérable. Alors aujourd’hui, adulte, il fuit tout ce qui ressemble à une émotion… parce qu’il ne sait pas comment la traverser.
“Pourquoi il y a toujours un problème ?”
Tu veux simplement te rapprocher. Lui, il entend “tu n’es pas assez”.
Alors il se braque. Parce que pour lui, ton émotion = une menace. Il la vit comme une accusation, pas comme une tentative de connexion.
Ce comportement vient du petit garçon qui se sentait responsable du mal-être de ses parents. Celui qui croyait devoir “rendre tout le monde heureux” pour mériter l’amour. Alors aujourd’hui, quand une femme exprime un besoin… il panique.
“De toute façon, rien de ce que je fais n’est assez.”
Tu lui dis ce que tu ressens. Et il répond ça, avec lassitude.
Tu crois qu’il te reproche ton exigence, mais en réalité… il parle de lui. De ce vide qu’il traîne depuis l’enfance. De ce sentiment d’être “jamais à la hauteur”, quoi qu’il fasse.
Ce n’est pas contre toi. C’est une blessure de honte et d’impuissance qu’il n’a jamais osé nommer.
“J’en peux plus, j’ai besoin d’une pause.”
Il ne parle pas vraiment de toi. Il parle de son système nerveux saturé. De cette fatigue d’homme qui porte tout sans savoir comment déposer.
Quand il dit ça, c’est son enfant intérieur qui supplie : “J’aimerais qu’on m’aime sans que j’aie à prouver quelque chose.”
Mon point de vue, c’est que beaucoup d’hommes ne sont pas désintéressés. Ils sont désalignés émotionnellement. Ils n’ont pas appris à aimer autrement qu’en se coupant d’eux-mêmes.
Je te dis ça pour t’aider à comprendre ce qu’il y a derrière le silence, la distance, ou la fuite.
Parce que parfois… ce n’est pas toi qu’il rejette. C’est la partie de lui qu’il n’a jamais su affronter.
Quand on parle d’immaturité émotionnelle,
Quand on parle d’immaturité émotionnelle, il ne s’agit ni de folie, ni de faiblesse, ni d’un manque d’intelligence.
Il s’agit d’un homme ou d’une femme qui réagit depuis ses blessures, au lieu de répondre depuis son cœur adulte.
Deux êtres qui ont appris à se protéger plutôt qu’à se rencontrer. À survivre dans le lien, plutôt qu’à s’y déposer. À vouloir avoir raison, plutôt qu’à comprendre.
Mais derrière tout ça, il y a souvent un petit garçon et une petite fille blessés, qui n’ont pas été entendus. Et qui, aujourd’hui encore, se parlent à travers leurs blessures au lieu de se parler d’amour.
Ils se punissent par le silence ou le retrait
Quand l’un se sent blessé, incompris ou pas reconnu, il se ferme. Il se tait. Il crée de la distance, croyant que c’est ainsi qu’il se protège.
Mais en réalité, chacun espère que l’autre viendra le chercher. Sans oser le dire. Sans oser montrer sa douleur.
Et à force d’attendre que l’autre comprenne sans mots, ils se perdent dans le non-dit. Jusqu’à ce que le lien s’étouffe sous le poids du silence.
Ils expriment leurs besoins à travers des reproches, pas depuis leur vulnérabilité
« Tu ne m’écoutes jamais. » « Tu t’en fous. » « Tu n’es jamais là quand j’ai besoin de toi. »
Derrière ces phrases, il y a souvent une seule vérité : ? “J’ai peur de ne pas compter pour toi.”
Mais le reproche ferme le cœur. Et plus ils se défendent, plus ils s’éloignent. Parce qu’ils se parlent depuis leur douleur, pas depuis leur amour.
Ils communiquent dans l’émotion brute, pas dans la conscience
Elle pleure, il s’énerve. Il crie, elle se ferme. Et chacun finit par dire des mots qu’il regrette une heure plus tard.
Pas parce qu’ils sont toxiques. Mais parce qu’ils sont blessés. Et qu’ils n’ont pas encore appris à contenir leur émotion sans accuser l’autre.
Résultat ? Deux âmes qui s’aiment, mais qui se détruisent à force de ne pas savoir se parler.
L’immaturité émotionnelle, ce n’est pas un défaut. C’est une étape qu’on traverse avant d’apprendre à aimer consciemment.
Le burn-out de la femme forte : quand tout porter finit par briser
On te voit comme une femme forte : celle qui gère tout, qui rassure, qui trouve des solutions, qui ne flanche jamais. Mais derrière cette image solide, la fatigue s’accumule, ton corps s’épuise et ton esprit vacille.
Ta force devient ton piège : à force d’encaisser, d’aider, de contrôler et de ne jamais dire non, tu t’oublies.
Le rôle qui épuise
Parce que tu es fiable, tout le monde s’appuie sur toi : au travail, à la maison, dans ta famille. Tu prends tout en charge, tu ne réclames rien, et tu continues même quand tu es malade ou brisée. Mais chaque responsabilité ajoutée te vide un peu plus.
L’illusion de tout contrôler
Tu veux que tout soit parfait, alors tu refuses de déléguer. Tu corriges, tu ajustes, tu vérifies tout. Tu crois que si tu lâches, tout s’écroulera. Cette illusion te pousse à porter bien plus que ce qu’une seule personne peut supporter.
L’incapacité à dire non
Tu dis oui à tout par peur de décevoir. Dire non te semble égoïste. Alors tu t'épuises à contenter tout le monde, jusqu’à oublier tes propres besoins. Ce “oui” permanent t’emmène droit vers le burn-out.
La force qui masque la douleur
Tu caches ta vulnérabilité, tu souris même quand tu es au bout du rouleau. Les autres pensent que tu n’as besoin de rien… alors ils ne t’aident pas. Tu t’isoles derrière une façade solide, mais ton âme se fatigue.
Le corps finit par craquer
Insomnie, stress, fatigue extrême, douleurs, irritabilité : ton corps dit STOP avant que toi tu ne l’acceptes. Le burn-out arrive quand tu as tout donné, trop longtemps.
Redéfinir la vraie force
Être forte, ce n’est pas tout porter. C’est savoir poser des limites, dire non, demander de l’aide, se reposer, se respecter.
La véritable puissance, c’est l’équilibre : choisir sa paix plutôt que son épuisement.
Tu restes une femme forte, mais une femme forte qui se protège, et non plus qui se sacrifie.
Ce que tu gardes contre ta mère
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dimanche 14 décembre 2025
Mal Etre
Une personne pose une question sur le suicide La réponse constructive est juste après
Bonjour,
Enfaite je me pose une question sur le suicide je connais des gens dans mon entourage qui veulent passer à l’acte mais je sais pas comment faire pour les aider j’aimerai savoir si il y a des gens qui ont déjà pensé à le faire et si oui qu’est ce que vous aurez voulu que vos amis fassent pour vous.
Merci d’avance
Bonsoir,
Merci de posé cette question.
Je dirais que les personnes qui veulent mourir sont des gens fatigués, lessivés.
Elles veulent mourir car elles ne voient plus d'espoirs, pour elles même alors elles vont essayés de voir de l'espoir ailleurs mais ce monde n'est que noirceur. Alors elles vont tentées de chercher sans relâches une chose qui leurs fera changé d'avis, ce n'est pas obtenir une vie normale qu'elles veulent.. puisqu'elles sont lessivées et qu'elles ne croient plus en eux. Je dirais que ces choses sont hors sujets... Et que ça pourrait même les blesser car elles sont fragiles, leur cœur épuisé, et construire quoi que ce soit cela demande trop d'énergie, ce sont des personnes très humaine mais a la fois très cérébral du a leurs douleurs.. Elles vont rechercher quelque chose de beaucoup plus complexe, puisqu'elles sont très malades et enfermées dans leurs questions existentielles.
Je pense que quand t'es réellement a bout de tout.. Les autres préfèrent ne même pas aborder les sujets avec ces personnes.. Ils vont juste leurs dire : va consulter. Par peur de les perdre à cause d'eux je pense. Car personne a une vie facile, personne ne détient les réponses... Alors les personnes à problèmes c'est juste "passe à ton voisin peut-être qu'il trouvera"
Tout ce que cela entraîne c'est.. une fatigue encore plus grande. Généralement quand l'état se dégrade trop on préfère ralentir le cerveau en leurs donnant un traitement. Puis a côté discuter 1h avec un psy qu'on paye mais retour chez soi, on retourne dans un environnement qui nous rappelle pourquoi ce trop plein.
Je pense que une fois qu'on entre dans ce système de soins ça en fini jamais. Car on doit quand même se battre au même niveau que n'importe quel individus mais les autres se construise.. Que les patients régresse et se maintiennent dans cette état de suivie, les médicaments qui ne leurs donnent plus cette vivacité d'esprit et ne leurs permet plus d'être en alignement avec qui ils sont donc il y a plus aucune forme de guérison possibles.
Les médicaments ça fonctionne super bien au début..
Mais arrivé des années plus tard, c'est l'enfer a vivre.
Je dirais que tout dépend du mal-être, chacun est différent, la durée aussi, depuis combien de temps cela dure.. Si il y a des moments de hauts et de bas, ou si il y a que du désespoirs. Souvent les gens parle de passage.. Toute émotions n'est que de passage, mais pour certaine personne il existe que 1 passage dans leurs vie et c'est la souffrance. Observer si la personne s'isole, se fait du mal.. Ne jamais ignoré les petits détails qu'elle peut montrer.. Ne jamais sous estimé 1 petit problème car c'est par la que les plus grandes souffrance commencent ! Dire qu'il y a pire dans la vie.. Minimiser et ignoré quelqu'un qui nous demande de l'aide c'est inhumain. Car quand elle sera au plus mal, elle va chercher à comprendre l'élément déclencheur et elle va simplement constater qu'il n'y a plus de retour en arrière possible car on l'a déjà abandonné quand elle voulait qu'on l'aide. Et quand on est ignoré on va chercher de l'aide au mauvaise endroit généralement, et on fait des erreur irréversible généralement.. Et les regrets, ne sont pas pardonnable. C'est pour cela que ces personnes sont très très.. Cérébrale car elles veulent s'en sortir mais sont enfermé dans un cercle vicieux.
C'est compliqué de comprendre une personne qui souffre car elles agit toujours contre elle, et on a du mal à la suivre.. Mais je dirais que pour l'aider c'est lui permettre de sortir de ce cercle vicieux.. Trouver le bout du tunnel dans ca prison. L'aider à se pardonner, lui prendre la main et aller porter plainte si il y a besoin, lui montrer qu'elle a ça place dans ce monde, voyager, changé d'air.. Respecter ces valeurs et donc apprendre à la connaître réellement. Cela demande du temps, de l'énergie.. Mais un professionnel ne pourra jamais offrir du vrai à un patient.. Jamais, car quand on est en thérapie ce n'est pas la vie, c'est un lieu presque irréelle.. Ou on se confie, ou l'on paye pour se confier, ou il y a aucune relation humaine vraiment.. Et 1h pas plus.
Je pense que simplement vivre autre chose de différent c'est la clé, et surtout lui demander ce que elle veux réellement vivre... Il faut qu'elle puisse le dire sans peurs, sans penser au pires, sans craintes d'être incomprise. Pour vivre il faut pouvoir redonner ça confiance ne serait-ce à 1 personne... Car nous sommes des êtres sociaux on ne peux pas vivre en vivant dans la peur.
Une fois qu'elle aura réussi à exprimer ce qu'elle garde en elle, trouvé le moyens de le réaliser : Réussir cette chose est un accomplissement qui lui rendra tout ce qu'elles aura perdu. L'amour/ la joie ça se passe au centre du thorax.. Si on a plus cette élan de vie, c'est qu'on c'est résigné à mettre de côté ce qu'on rêve de vivre. Mais.. Parfois on ne se souviens même plus alors cela prend du temps de se retrouver...
Avec beaucoup d'efforts tout est surmontable.. Mais priorité aux rêve(s) car quitte à vouloir mourir et à avoir une vie de merde, autant aidez ces personnes à réaliser leurs rêves les plus fou.
L'être humain tombe en dépression pas à cause de ces erreurs / échecs.. C'est à cause des exigences de la société.. On parle beaucoup des autres pays trop exigeant mais c'est partout la même.. Que ce sois chez les hommes ou les femmes.. Même chez les enfants peut-être.. Les personnes dépressive ne s'en sorte plus. L'exigence de la beauté, cela peut être bien de dire qu'il ne faut pas se laissé allé.. Mais chez une personne ça peut aller loin, anorexie, surpoids, mutilations.. et j'en passe. Si il y aurait pas ces exigences.. Ces personnes prendrais soins d'elles naturellement, car ils y aura aucune pressions. Donc parfois une personne qui est bien, peut complètement vrillé et ce n'est pas de ça faute. Je pense que quand on commence à voir que notre personnalité n'ai pas compatible aux extrême de cette société, que ca nous blesse, il faut tout faire pour se tourner vers ce qui nous faire du bien, la nature ou les voyages, écouté ma vie des autres de différente culture..
Chaque problème à ça solution, quand on personnes veux se suicidé : -l'aider à changé d'environnement (sois pour des vacances, sois pour déménager tout dépend de la situation..) - comprendre dans quelles types de prison mental elle se trouve. - l'aider à trouver un rêve/ ou à s'en rappelle. Et enfin.. Tout faire pour qu'elle parviennent à le réaliser. Être à son écoute.. Si c'est d'ordre troubles psy.. style des délires auxquelles elle s'accroche pour survivre.. C'est encore plus complexes.. Je dirais aller dans sont sens pour qu'elle se rendent compte par réflexions qu'elle se trompe, mais toujours être à ses côtés dans cette recherche.. Si vraiment c'est une personne irréfléchi, dans des délires trop profonds et insensé.. Je ne sais pas. Mais tant qu'elle veut comprendre pour pouvoir tourner la page.. C'est important je pense de lui donné une chance et qu'elle puisse vivre dans ce monde pleinement par rapport à sont délire, pour qu'elle puisse ressentir ces limites.. Et se rendre compte de la réalité. En plus tout ce temps à cette quête insensé, ça revient à se retrouver, et vous verrez, quand on poursuit quelque chose qui nous tiens à cœur depuis longtemps même si c'est insensé, on vie plus avec la peur et on fait plus de choses par nous mêmes..
Je pense que toujours garder le contrôle sur une personne à cause de sa fragilité, ça rend la personne encore plus inapte a ce monde.
Je vous ai donné plusieurs pensées.. A vous de l'adapter et le modelé en fonction de vos proches..
Aussi parfois.., Un mal-être peut être dû à la famille, une personne peut porter quelque chose de lourd, une blessure qui ne lui appartient même pas et qu'elle n'a même pas conscience.. La famille souffre mais parfois personne ne veut porter ce fardeau et maladroitement préfère rejeté leurs propres problèmes sur une personne plus sensible qui n'a rien demandé mais inconsciemment dis "oui" a tout. Le plus gros challenge c'est la famille.. Surtout quand personne ne fait l'effort de libéré la parole et qu'il y a qu'une personne qui se bat pour s'en sortir.. Car cette personne porte tout. Tout peut être une forme de prison.. Donc c'est intéressant dans ce genre de cas d'apprendre à connaître la famille et les drames.. Bien sur il y a forcément des drames dans les famille surtout si on remonte loin dans les générations, mais quand il y a un problème à ce niveau cela se vois beaucoup. Il faut savoir observer... J'ignore si ce que je dis là peut être une piste.. Si cela existe et si cela soulagerait réellement quelque chose.. Mais ce qui est intéressant quand quelqu'un souffre, c'est qu'on en apprend des choses ! Il faut pas tombé dans des sectes par contre ou écouter des mauvais psy qui font perdre du temps ou parfois détruise des vies. Car oui, personnellement j'étais en primaire quand un psychiatre a dit à mes parents que j'étais foutu et qu'il y avait qu'une option qui s'offrait à eux.., M'enfermé. Je n'ai pas entendue cela car j'étais enfermé dans mon monde.. C'est bien plus tard quand je suis sortie de mon monde que m'a maman m'a fait part de cette information. Je ne suis pas encore sortie d'affaire.. Mais malgré ma tristesse.. Je continue.
Je n'ai pas d'amis, mais je trouve votre question vraiment importante et c'est rassurant..
J'espère que vous recevrez d'autres messages.
Bien à vous
https://www.tsante.com/plus/psycho/9980-le-burn-out-de-la-femme-forte?fbclid=IwY2xjawOrgPZleHRuA2FlbQIxMABicmlkETBWS3Zsb0E3dFF3b0lBaDVSc3J0YwZhcHBfaWQQMjIyMDM5MTc4ODIwMDg5MgABHniHrCMX0gwALXruY2cu1-MQEq7kpQkNXETKKkMHf7MiOEVxtg6fM77Llaed_aem_2cv6xWhgIwFcNWdmc6zU2w
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